156.
« C’est un Américain et un touriste français qui discutent en haut d’un building. L’Américain dit au Français :
— Vous savez, à New York, il existe des secrets que ne connaissent que les vrais New-Yorkais. Par exemple les buildings sont si hauts que cela génère des turbulences. Les courants d’air circulant entre les tours sont si forts qu’ils peuvent transporter un homme d’un building à un autre.
— Il ne faut pas me prendre pour un imbécile, dit le touriste. Je ne vais quand même pas croire à ce genre de sornette…
— Vous ne me croyez pas ? Hum, vous voyez cette fenêtre illuminée juste en face, dans le building de l’autre côté de la rue ?
— Oui, bien sûr. Vous n’allez pas me faire croire que vous pouvez y aller en vous faisant transporter par les courants d’air.
Là-dessus l’Américain se met sur le rebord de la fenêtre. Et hop, il saute, étend les bras, glisse en une courbe quasi parfaite et atterrit à la fenêtre du building d’en face. Puis de là-bas il crie :
— Vous voyez, les courants d’air sont assez forts pour soutenir le poids d’un homme. Allez-y, venez me rejoindre. Je vous attends ici.
Le touriste est sidéré. Cependant il monte sur le rebord de la fenêtre et hésite.
L’Américain lui crie :
— Laissez-vous porter, ça se fera tout seul.
Alors le touriste s’élance, étend les bras, fait vingt centimètres en avant et tombe en chute libre de 120 mètres de hauteur en hurlant.
En bas il finit en bouillie.
Alors, sur le building où se trouve l’Américain surgit une femme de ménage qui lui murmure :
— Tu es quand même un peu salaud quand tu as bu, Superman. »
Blague GLH n°556 673.